Devri

gik

gik

m. cf. grik

(1) Komz, seniñ gik : dire mot.

(14--) Jer.ms 62. Myret na sonet guyc un gueryc byzvyquen, tr. « Prenez garde de ne dire rien, (pas) un seul petit mot jamais. » ●84. Myret na sonet guyc un gueric byzvyquen / A Iesu Nazaret nepret a goez nep den, / Dydan poan damany, querz pep try ho dyren / Da bezaff dystruget, ha crouguet mar grear quen., tr. Herve Bihan « Prenez garde de ne dire rien, (pas) un seul petit mot jamais / De Jésus de Nazareth, jamais au sur de personne, / Sous peine certes, assurément, trois par trois d’être conduits, / Pour être tués, et pendus, si on fait autrement ». ●(1557) B I 568. na compso quic (variante : guic) he doe lic bizhuiquen, tr. «elle ne parlera plus désormais de son mauvais Dieu.» ●(1575) M 106. Ne tal reuz den euzic, na son gic á sicour, tr. «Qu’importe la peine d’un homme terrible ? ou son appel à la rescousse.» ●1598. Hep son guic bizhuicquen, á caffout leuenez, tr. «Sans qu’il soit jamais le moindrement question de trouver de la joie.»

(2) Mot ; point.

(1575) M 2095. Neuse da reuseudic, nedeux guic á sicour, tr. «Alors au malheureux il n’y a point de secours.»

Ce site utilise des cookies pour son fonctionnement.En savoir plus...