m. –ioù Gond.
●(c.1718) CHal.ms ii. Cette porte ne Ioüe pas librement sur ses gons, tr. «en or ma n'endaquet cäer ar hé gonteu ar he mequerinuieu, ar he muduruneu.» ●(1744) L'Arm 287. Pivot ou Torillon d'une porte cochère [Celui qui est au haut de la porte], sur lequel elle porte & il tourne avec elle, tr. «Mequenérr.. rieu m.»
●(1934) BRUS 241. Le gond d'une porte, tr. «er mekenér –ieu.» ●(1939) KOLM 46. en norieu e dro ar ou mekenérieu. ●(1988) TIEZ II 93. la plupart des maisons rurales sont fermées par une porte évidemment en bois mais d'une conception relativement simple. Le montant unique est aussi l'axe de rotation ; à son extrémité inférieure il est taillé en sifflet (eur begina) pour pouvoir tourner dans la cupule d'une pierre plate (ar votez) placée immédiatement en arrière du seuil.