Devri

fuiñ

fuiñ

v. intr.

(1) Se répandre subtilement.

(1732) GReg 806a. Se repandre subtilement, comme la farine dans un moulin &c., tr. «Fuï. pr. fuet

(1876) TDE.BF 218a. Fui, v. n. D'après Grégoire, se verbe signifie se répandre (par-dessus les bords), et ne s'emploie qu'au figuré dans ses phrases : Ken a fu, tant qu'il se répand ; ken a fue, tant qu'il se répandait, pour dire, beaucoup, fortement. Fustet eo bet ken a fue, il a été rossé d'importance.

(1927) GERI.Ern 165. fui v. n., tr. «Se répandre (par-dessus bord ou subtilement) comme la farine dans un moulin.»

(2) Ken a, na fu : tant que faire se peut.

(1732) GReg 83a. Il a été bâtonné qu'il n'y manquoit rien, tr. «Bazatéet eo bet qen na fué.» ●440b. Froter quelqu'un, le batre, tr. «Frota ur re. frota caër ur re. frota ur re qen na fu.» ●806a. qen na fu, qen na fué, tr. «Fortement, beaucoup.»

(1927) GERI.Ern 165. ken a fu, tr. «fortement, beaucoup.»

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